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L’art subtil de s’en foutre Par Mark Manson

Par Mark Manson

La pensée collective de notre époque nous pousse sans cesse à nous améliorer. Sois plus heureux, en meilleure santé. Sois plus intelligent, plus productif, plus riche, plus sexy. Or plus nous cherchons à atteindre ces objectifs, moins nous ressentons de la satisfaction. 

Notre société, contrairement à celles de nos pères, nous offre beaucoup trop d’options, plusieurs variantes d’un même objet. On nous propose plusieurs modèles de téléphones ou de voitures. Du coup, ne pas posséder un modèle particulier, différent de celui que nous avons, mais que notre collègue de travail détient, peut être source de souffrance.

Et si l’on décidait de ne plus s'inquiéter constamment de ce que l’on a pas, au lieu de regarder à ce que l’on possède ?

Dans son livre, Mark Manson nous propose de pratiquer l’art subtil de s’en foutre, afin de sortir de la prison de nos propres pensées. Il nous livre des clés pour cesser, une bonne fois pour toute, de nous inquiéter de choses dont nous n’avons pas le contrôle. 

Dans ce résumé, nous verrons que nous devons découvrir ce qui compte réellement pour nous et nous concentrer là-dessus.

Nous découvrirons également que :

  • Nous n’avons pas besoin d’être exceptionnel pour vivre mieux ;

  • Le bonheur peut parfois être un problème ;

  • Se planter n’est pas si mauvais en soi ;

  • La mort doit rappeler que la vie vaut la peine d’être vécue ici et maintenant ;


Idée clé 1 - N’essaie pas d’être ce que tu n’es pas

Le livre démarre avec l’histoire d’un poète et romancier raté et alcoolique du nom de Charles Bukowski. Alors qu’il peine à trouver un éditeur pour publier ses ouvrages et enchaîne les échecs, ses efforts finissent un jour par payer. Il publiera le livre Post Office (Le Postier), qui sera vendu à plus 2 millions d'exemplaires.

On est tous en admiration devant ce genre de récit, au point de complexer quand, face aux mêmes difficultés que celles rencontrées par Bukowski, nous échouons, encore et encore. 

Sauf qu’en réalité, ce qui a fait le succès de Bukowski, était la certitude qu'il avait d’être un parfait un looser...et l'assumait totalement. Son génie a été de jouer sur sa lucidité et d’aller de l’avant malgré tout. Il n’a pas tenté, même après son succès, d’être quelqu’un d’autre que lui-même. Il était prêt à échouer, à tomber, tant qu’il restait lui-même. Son succès était lié à son style, un brin provocateur. De même, vous pouvez réussir grâce à votre propre singularité.

Or le discours ambiant nous pousse  à être toujours plus parfait, plus productif, plus positif et donc moins égal à nous-même. Or cela nous pousse à nous focaliser sur ce qui nous manque, au lieu de profiter de nos différences, pour justement faire la différence. 

Nous nous posons devant un miroir en nous répétant que nous sommes beaux ou belles, comme nous le suggèrent les gourous du développement. Or se répéter que l’on est beau n’est-il pas le signe que l’on en doute ? De même, quelqu'un de vraiment heureux ne se répète pas 1000 fois par jour qu'il est heureux....Il est heureux tout court !

Nous faisons de la visualisation pour nous rappeler encore et encore que nous ne possédons pas ce que nous recherchons. Nous réfléchissons à des solutions pour faire de l'argent parce que l’on estime ne pas en posséder suffisamment. Nous lisons des ouvrages sur les relations amoureuses pour les nuls, parce que dans le fond, nous ne nous sentons pas aimables. 

Pour l’auteur, cette fixation sur la recherche effrénée du positif, du supérieur et du toujours plus, nous rappelle surtout ce que nous ne possédons pas. Ce qui peut être source de souffrance inutile. 

On se crie dessus à la moindre bourde. On se sent coupable d’être coupable. On a les boules d’avoir les boules ! On est en colère de se mettre en colère ! On est ainsi prisonnier de son propre enfer !...Oui, nous l’avons nous-même créé.

Et si au lieu de cela, on essayait, de ne pas essayer...Et si l’on arrêtait d’être une autre personne que nous-même. 

Vous vous sentez idiot en portant ces vieilles chaussures complètement rétro ? Ou craignez-vous de faire des blagues de trentenaires dépassées et pas drôles ? Et si vous décidiez de vous en foutre totalement. Car qu’y a t-il à être idiot ?

Comme le dit un proverbe texan : «Ce sont les plus petits chiens qui aboient plus fort ». Les gros chiens n’ont que faire d’aboyer constamment, leur carrure impose déjà le respect.

Alors un bon conseil : n’essayez pas d’être quelqu’un d’autre. Soyez vous-même.


Idée clé 2 - Le bonheur peut être un problème

Accepter une expérience négative est en soi une expérience positive. 

D’après le philosophe Alan Watts,  père de la contre culture américaine, plus l’on cherche à se sentir mieux moins l’on se sent heureux.

Plus nous désirons quelque chose et moins nous ressentons de la satisfaction vis à vis de cette chose. Plus nous courons après plus d'argent et plus nous nous sentons fauchés. Plus nous cherchons à nous sentir sexy et désirable, moins nous nous trouvons attirant. 

Comme le rappelle l’auteur, «Plus tu as envie d’être aimé, plus tu te sens seul, même si tu es avantageusement entouré.»

L’auteur cite également Albert Camus, qui dit : «Tu ne seras jamais heureux si tu cherches constamment de quoi est fait le bonheur , tu ne vivras jamais si tu cherches toujours un sens à la vie ».

L'évitement de la souffrance produit la souffrance, et dissimuler ce qui est honteux alimente le sentiment de honte. Se forcer à ignorer la souffrance, parce que l’on a peur de dire les choses telles qu’elles sont est une souffrance en soi. Vouloir à tout prix renier sa personnalité, son système de valeur, pour être heureux et en paix, produira souvent l’effet inverse.

C’est donc tout un art de s’en foutre. Et pourtant c’est la clé pour commencer à vivre une vie moins stressante. La vie est courte, et si l’on s’occupe de tout et de tout le monde, on peut passer à côté des plus belles expériences de notre existence.

L’art de s’en foutre n’a rien d’une pratique de zénitude. Il ne s’agit pas non plus d’être un psychopathe, qui ne ressent aucune émotion.

S’en foutre signifie être à l’aise avec le sentiment d'être différent. On se préoccupe plus de l’idée que l’on se fait de nous, de la couleur de notre voiture, de notre nouvelle coupe de cheveux,….

Il ne s’agit pas non plus d’être indifférent et de se foutre de tout

Pour expliciter ce propos, l’auteur donne l’exemple de sa mère qui a été victime d’une escroquerie. Fou de rage, il proposa de prendre un avocat, le meilleur qui soit, car cet escroc devait payer. Faisant abstraction du prix d’une telle action, l’auteur n’avait rien à foutre que ça lui coûte de l’argent, tant que sa mère obtenait justice.

Pour se foutre de l’adversité, il faut donner une importance à quelque chose de plus important que l’adversité. Une dame se plaint un jour à la caisse d’un magasin à cause d’un bon de réduction de 30 centimes. Pour l’auteur, cette personne âgée n’avait certainement rien à faire de ses journées, ses enfants ne lui rendait pas visite du tout ou peut être même que sa retraite n’était pas terrible...Collectionner des coupons de réduction était donc tout pour elle. Alors quand une gamine d’une vingtaine d’années lui refuse ses jolis coupons qu’elle a mis des heures à découper, elle s’énerve, en lui rappelant qu’à son époque les jeunes étaient plus respectueux. 

Pour l’auteur, si vous vous retrouvez à vous prendre la tête pour des futilités, c’est bien la preuve qu’il ne se passe rien de fun dans votre vie ! Il vous faut alors trouver quelque chose de plus important que votre adversité. 

La véritable maturité se produit quand on se concentre sur ce qui en vaut la peine. Car se simplifier la vie, nous rend plus heureux.

Nous devons faire le tri dans ce qui est important : acceptons que les choses peuvent ne pas fonctionner de temps à autre. La vie est ponctuée d'échecs, mais le seul moyen de surmonter la souffrance est d’apprendre à la supporter.


Idée clé 3 - La souffrance est un feedback de la vie

L’histoire de Bouddha, qui vécut dans l’ignorance des cruautés de la vie, est un bon exemple du pouvoir de la souffrance sur notre existence. Un jour, alors qu’il sortait de son palais, il découvrit la misère humaine, qui le poussa à une profonde crise existentielle. 

Il reprocha l’absurdité de sa propre vie à son père et à la société. Après avoir renoncé à son statut de prince, il connut la souffrance, la maladie et la déchéance. Cette vie de souffrance ne lui apporta cependant rien sur la révélation transcendantale qu’il avait tant espérée au départ, la finalité ultime du monde. Il comprit simplement que  l’existence humaine est un enchaînement de souffrance et c’est tout. 

Les riches souffrent d’être riches, les pauvres de leur pauvreté, les personnes sans famille de ne pas en avoir, et celles qui en ont une souffrent à cause d'elles. Les gens en quête de matériel souffrent de ne jamais en voir assez et ceux qui y renoncent souffrent d’y renoncer.

Bien que les divers types de souffrance ne se valent pas, il est utile d’en arriver à cette conclusion : la souffrance et la perte sont inévitables, il est vain d’essayer d’y résister. C’est la vie !

On souffre parce que la souffrance a une fonction biologique : elle nous motive à bouger et à survivre. La souffrance est l’outil le plus efficace pour nous botter les fesses. Un feedback pour nous rappeler nos limites et nous appeler à plus de vigilance la prochaine fois. Il n’est donc pas toujours bon d’éviter la souffrance. Il nous faut souffrir juste ce qu’il faut.

De plus, le cerveau ne distingue pas douleur physique et psychique. Nous serons confrontés aux deux, à un moment ou à un autre. N’attendons donc pas une vie sans problème, mais cherchons simplement à nous attaquer à  de bons problèmes de la meilleure façon possible. 

On résout par exemple des soucis de santé en faisant du sport. Or ce dernier est une souffrance en soi, mais bénéfique. On troc donc un problème contre un autre. C’est cela la vie !


Idée clé 4 - Vous n’êtes pas exceptionnel

Il n’est pas rare que l’on découvre, en allant sur internet, des livres ou des vidéos qui nous rappellent combien nous sommes beaux, courageux et tout bonnement exceptionnels. Or si nous sommes tous EXCEPTIONNELS, en quoi sommes-nous alors exceptionnels ?

L’auteur raconte l’histoire d’un dénommé Jimmy, complètement imbu de lui-même et hyper confiant dans ses propres capacités. Jimmy avait plein de projets, mais ne produisait jamais rien de concret. Il était convaincu qu’il devait mener une belle vie sans jamais rien sacrifier. Il était convaincu d’être champion du monde sur tout.

Or, à force de vouloir être exceptionnel, de croire qu’on le vaut bien, nous sommes poussés à toujours plus de surenchère. Et à cause des  nombreuses options qui nous sont proposées,on ne fait finalement rien. Plus que l’on est exceptionnel, on épate la galerie, on se défonce comme une rock star, afin d’être accepté en société. On se transforme en bad boy ou en bad girl pour plaire au sexe opposé. On est convaincu que tout cela fera de nous une personne plus exceptionnelle.

Quoique vous fassiez dans la vie, ce sera de toute façon une lutte. Alors, vous devez trouver la lutte qui vous convient. Si vous voulez atteindre vos objectifs, vous n’avez pas besoin d’être exceptionnel, vous avez besoin de vous retrousser les manches et faire les choses qui doivent être faites.

L’auteur raconte l’histoire du guitariste Dave Mustaine, qui fut éjecté de son groupe de musique en 1983, alors que celui-ci devenait célèbre. Il finit par en créer un nouveau,  Megadeth, qui vendit plus de 25 millions de disques. Il tentait alors de prouver à ses anciens acolytes qu’ils avaient eu tort de l'abandonner. Or le groupe qui l’ejecta dans le passé n’est autre que Metallica, l’un des meilleurs groupes de metal de tous les temps. 

Malgré le succès de Megadeth, Dave Mustaine continuait de jauger sa réussite par rapport à celle de Metallica. Ce qui le faisait souffrir et l'empêchait de réaliser qu’il avait réussi lui aussi à créer un groupe incroyablement populaire.

Pour Mustaine, la seule façon de se sentir exceptionnel était de réussir mieux que ses anciens membres d’équipe. Il était donc voué à vivre déçu jusqu’à la fin de ses jours

L’histoire du batteur Pete Best est un bon exemple de la façon dont nous pouvons, avec les bonnes valeurs, être heureux. Comme Dave Mustaine, il fut chassé de son groupe, alors au bord de la célébrité. Et ce groupe n’était autre que les Beatles, un des plus grands de tous les temps. 

En voyant les Beatles devenir célèbres, Pete Best est d’abord tombé dans une profonde dépression, avant d’accepter sa situation et remonter la pente. Il changea son système de valeur et compris que ce qui comptait vraiment pour lui était sa vie de famille. Cette prise de conscience le conduisit à une vie plus heureuse et épanouie, même en jouant pour de petits groupes de musique.

Vous n’avez pas à être exceptionnel pour être heureux, vous pouvez être vous-même. 

Comme William James, psychologue et philosophe américain, faites le choix de prendre la responsabilité de vos échecs. Cessez donc d’accuser les autres d’être la cause de tous vos malheurs. Cela ne vous poussera qu’à vous méprisez encore plus. 

Si vous ne pouvez pas contrôler les évènements de la vie, vous pouvez contrôler la manière dont vous réagissez à chacun d’entre eux.

Cessez donc de courir après des chimères et à la place recherchez ce qui vous motivera à rester éveillé. En réalisant et en travaillant sur vos erreurs, vous pourrez les éviter à l'avenir. 

Quant aux autres choses, n’y accordez que peu ou pas d’importance. Vous n’en avez rien à foutre  !


Idée clé 5 - Vous devez accepter vos échecs pour mieux réussir

Dès l’école on nous a appris que l’échec était une mauvaise chose. Avoir la note la plus basse de votre classe faisait de vous l’étudiant le moins doué. De même, les médias nous abreuvent de succès à la télévision ou sur internet, sans parler des temps difficiles qui les ont accompagnés.

Et si pour réussir, vous deviez accepter l’échec comme une opportunité ? Et si la souffrance, même subie lors d’une guerre, pouvait nous faire voir le monde d’une tout autre façon ? Avec beaucoup plus d’amour et d’empathie par exemple.

Selon le psychologue polonais Kazimierz Dabrowski, qui a mené des recherches sur des survivants de la seconde guerre mondiale, la souffrance peut nous amener à nous dépasser émotionnellement. De la même manière que l’exercice physique entraîne nos muscles, la souffrance peut nous faire grandir de façon considérable, quand on sait l’accepter comme faisant partie du processus de la vie.

Si vous avez du mal à faire face à une situation, alors travaillez dessus sans vous relâcher. Vous finirez, à force d’essais, à trouver une solution adéquate ou déciderez de pivoter vers une autre direction. Il ne doit pas y avoir de place pour le regret ou la peur d’essayer. La meilleure façon de valider vos idées est d’essayer.

Tandis que la peur d’échouer nous paralyse, l’action pousse à l’inspiration, qui va faire naître en nous de la motivation. Faites le premier pas et le reste s'enchaînera.


Idée clé 6 - Vivez votre vie ici et maintenant

Nous n’avons qu’une vie sur cette terre, après quoi nous mourrons. Alors, pourquoi ne pas la vivre pleinement, et en étant en accord avec son système de valeur ?

Nous sommes constamment en recherche de choses toujours plus hors de notre portée, toujours plus futiles. Nous hésitons à dire NON quand il s’agit de notre carrière, alors que cela nous rend malheureux. La vie n’est-elle pas plus importante qu’une promotion ?

Essayer d’être ce que tout le monde veut que vous soyez mène à la souffrance. Si vous voulez vivre une vie heureuse, concentrez-vous sur les choses que vous aimez vraiment. Tout le reste n’est que pure distraction.

Nous ne sommes pas immortels, il est important de le réaliser. Vous n’aurez pas de seconde chance tout le temps. Faites plutôt le choix de mettre de côté cette recherche de gloire et de succès, pour vous concentrer enfin sur le moment présent.

L’auteur finit le livre en racontant une histoire bouleversante : celle de la mort de son ami d’enfance Josh. Alors qu’ils étaient tous les deux à une soirée à siroter des bières, ils se lancent le défi de se jeter du haut d’une falaise «suffisamment haute pour te faire réfléchir à deux fois avant de sauter du sommet, mais pas assez pour te dissuader de te jeter sous  l’effet de l’alcool ou de la pression d’un ami». Le jeu tourne au drame, quand Josh finit par chuter mortellement.

A la suite de cet évènement, Mark Manson sombra dans une profonde dépression, avant de réaliser le privilège qu’il avait d’être en vie. Il ne pouvait plus se permettre de passer à côté de son existence à cause de ce que pensaient les autres personnes. 

«Avant sa disparition, j’étais inhibé, sans ambition, obnubilé par ce que j’imaginais qu’on pouvait penser de moi. Après le drame, plus rien n’a été comme avant (…) Étonnement, c'était la mort de quelqu’un d’autre qui m’avait donné la permission de vivre.»

Quand on est trop concentré à faire plus d’argent, à rechercher l’attention des autres, et à avoir peur de faire des erreurs, le seul fait de s’imaginer notre propre mort, doit nous rappeler qu’il nous faut vivre le moment présent plus que jamais.


Conclusion

Être constamment à la recherche d’expériences positives engendre souvent des expériences négatives. Notre société nous bombarde constamment de messages pour être le meilleur,  avoir une plus belle télé, une plus grosse voiture, comme si cela nous rendrait plus heureux. Les réseaux sociaux nous vendent un bonheur illusoire. Nous poussant à nous croire minable, face à des ados qui réussissent mieux que nous sur tous les fronts.

Notre monde moderne est beaucoup trop centré sur nos manques, ce qui peut être source de profondes frustrations. Tout cela peut être préjudiciable à notre santé mentale. On devient accro au superficiel et au factice. 

Pour avoir une vie au top, il nous faut remettre notre niveau d'aspiration à sa place et rechercher ce qui est vrai, immédiat et important à nos yeux. Nous n’avons pas à être une version différente de nous-même. Nous sommes ce que nous sommes, et notre singularité est une force en soi.

Si la société de consommation nous pousse à toujours en vouloir plus, il nous faut réaliser que, «plus» ne signifie pas forcément «mieux».

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